
habituellement c’était ma place :
la place de … celle qui a besoin d’être rassurée, toujours, sans fin, sans limite,
insatiablement * (*qui ne peut être assouvi)
et cette HONTE d’être ainsi …
Mais rien, aucun acte, aucun mot, n’aurait pu me rassurer, je le vois maintenant
never enough,
j’interprétais … et tout était manque et insuffisance.
Je faisais PORTER à l’autre un vide qui m’appartenait. Je demandais à l’autre ce que je ne savais m’apPORTER.
Je tentais d’amener l’autre avec moi au-dedans de ma propre impuissance à m’aimer.
Je portais en moi un poids de vide, un manque de moi.
Personne, quiconque, NO BODY n’aurait pu boucher ma peur.
L’autre ne peut jamais rassurer jusqu’à cette limite insondable, cette peur-là.
Soi, seul le peut.
(Believe in yourself belive in yoursel so that others will believe in you ?)